On reconnait une image d’Alice Morelli au premier coup d’oeil. Photo ou film. Une mise en scène graphique mais charnelle, un regard perdu, intérieur, un je-ne-sais-quoi de rock’n’roll. Des images qui invitent à une lecture complexe, sur plusieurs niveaux. Toujours, au centre, un être humain, de la peau, une immense sensibilité.

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Son histoire commence avec des études de journalisme (ISCPA). Un court passage chez Mme Okrent et BFM l’oriente finalement vers une formation en communication. Photographe dans l’âme, elle apprend à maitriser Photoshop et devient cheffe de projet pourRKST, une WebTV, WebRadio. Elle court les concerts, les interviews de musiciens de la scène rock. Ben Harper, M, Susan Vega, Damien Rice. 300 lives ou interviews. Alice est fan de musique, elle la filme admirablement. Transmettre sur un support plat, l’énergie, l’émotion de la musique live, est un challenge. Elle le relève avec panache. Mais l’aventure s’arrête et elle enchaîne un nombre incalculable de travaux pour la mode, le théâtre, les podcasts. ( Robert Hossein, Elle, Cosmopolitan, Madame Figaro).

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Puis le cinéma, il ne lui manquait plus que ça. Elle travaille pour Smith en Face, une production qui présente ses court métrages à Cannes (Talents de l’Adami). C’est en 2014 qu’elle devient reporter pour la télé russe Chik TV, à Monte Carlo, Monaco. Elle y filme des sujets sur l’art, la mode, la vie nocturne. Paris Hilton ou Snoop Doggy Dog, se retrouvent devant sa caméra.

Fin 2014, Alice déménage en Angleterre, un pays qui lui va bien. Patrie du rock’n’Roll et de la mode. D’abord réalisatrice pour une chaine de bijoux, elle y passe un master en photographie avec Nick Knight, son mentor.

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Un regard cutting-edge, au fait de la mode, mélangé à une sensibilité à fleur de peau.

Alice Morelli sait tout faire et maitrise tous les supports. De la musique, à la mode, en passant par le cinéma, le théâtre et la télé, elle imprime dans chacune de ses créations, une vision unique et riche de toutes ses expériences.

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